Juillet 1989. Les deux inspecteurs Des Cartes et Spinoza occupent leur temps entre les chats et le défilé du bicentenaire. Le commissaire Broust, retenu par la Garden Party présidentielle leur demande d’assister les collègues de Vichy, décimées par la grippe d’été et les festivités républicaines. Un vol a été commis dans le petit musée de Glozel : trois objets dont une tablette à écriture. Rien d’important… Le déplacement aurait pu ressembler à une promenade touristique, d’autant qu’Emile Fradin est très volubile sur l’histoire de ses découvertes… sauf que l’on découvre dans les ruines du château de Montgilbert le cadavre nu d’une jeune fille, accompagné d’un des objets volés. La jeune fille, adolescente turbulente avait disparu de la maison où elle vivait avec son père et voilà qu’on la découvre assassinée par strangulation. L’autopsie révèle qu’elle est enceinte de quelques semaines… Deux jours plus tard, c’est un autre corps que l’on découvre, sur le rocher Combeau haut-lieu celtique de la montagne bourbonnaise.  A côté d’elle un deuxième objet volé dans le musée. Les enquêteurs découvrent le milieu paysan fermé et d’étranges personnes qui semblent former une communauté qui se livre à des cérémonies secrètes. Les pistes s’égarent dans plusieurs directions...