De cabarets en ondes, la vie d’un saltimbanque qui possède un gros capital sympathie auprès de son public
Une appétence pour les jeux de mots et la scène, un esprit caustique, malicieux et espiègle, un don d’observation et un départ pour Paris, encore tout jeune… Voici ce qui a présidé à la (longue) carrière de Jacques Mailhot.
Après avoir fait ses armes au cabaret l’Échelle de Jacob, il enchanta les fins de semaine des Français… De 1968 à 1990, ils tendaient l’Oreille en coin, collés “au poste” avec délices. Jim Wild Carson avec sa trompette rassemblait jusqu’à 5 millions d’auditeurs, et les hommes politiques se disputaient les faveurs de l’ émission.
Ce récit nous entraîne ensuite au fil des grandes étapes de sa vie “publique”, ou plutôt avec le public… Nombreux galas, aventures télévisuelles (Sérieux s’abstenir) et théâtrales (le théatre des Deux Ânes, qu’il va acquérir plus tard…), les Grosses Têtes de Bouvard (pendant 23 ans…), 30 ans de chroniques de presse et La Revue de presse sur Paris Première qui chahute l’actualité à chaud.
On ne s'en lasse pas, et cela fait plus de 40 ans que ça dure ! Il connaît tout le monde, tout le monde le reconnaît… et son public ne cesse de le lui dire, car l’affection qui le lie à lui ne se distend pas…